TOP
SHOW



 
MERCI DE NOUS AVERTIR DE VOS PRÉSENTATIONS TERMINÉES DANS CE TOPIC.
BIENVENUE Invité !
FORUM RPG BASÉ SUR LA SÉRIE DOCTOR WHO.
REJOINS-NOUS VITE SUR LE TOP SITE DU FORUM !
Le Deal du moment : -45%
Harman Kardon Citation One MK3 – Enceinte ...
Voir le deal
99 €

Partagez
 

 When you see trouble, run... to the source. - Londres, 2014 [ Mark ]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage
Invité
Anonymous

Invité




When you see trouble, run... to the source. - Londres, 2014 [ Mark ] Empty
MessageSujet: When you see trouble, run... to the source. - Londres, 2014 [ Mark ]   When you see trouble, run... to the source. - Londres, 2014 [ Mark ] Icon_minitimeMer 22 Oct 2014 - 23:57


When you see trouble, run... to the source.

Ou pour reprendre les mots d'un grand philosophe du XXIème, Steven Moffat, à travers Sherlock : " You are addicted to a certain lifestyle. You're anormally attracted to dangerous situations and people. "


Avec Mark Dichter


La vie que Martha menait à présent n'était pas aussi simple qu'elle le pensait. Essayer de concilier son emploi du temps que lui donnait UNIT et sa vie professionnelle solo ( puis sa vie privée aussi, c'est important. Attendez... quelle vie privée ? ) était vraiment difficile. Mais elle n'aimait pas moins ce qu'elle faisait son métier, et c'est pour cette raison qu'elle continuait de vivre de cette folle manière. Le fait d'être larguée sur Terre ne l'empêchait pas d'accomplir sa mission de son côté. Il y avait aussi beaucoup à faire ici. Elle qui voulait devenir docteur des années plus tôt... En tout cas cela convenait toujours à la jeune femme. Aider les autres, d'une manière comme une autre.

Et quoi qu'elle faisait, où qu'elle aille, ses pas la ramenaient toujours chez elle, en Angleterre. Ce pays qui l'avait vu grandir et qu'elle chérissait. Martha voyageait beaucoup, ainsi, il lui arrivait d'avoir un peu de nostalgie... Bien qu'elle ait vu beaucoup de choses au cours de ses voyages, elle avait sentit que tout cela était minuscule comparé à ce qu'il restait à voir. Un peu comme le savoir. Plus on a l'impression d'en connaître, et plus on se rendait compte qu'il en restait infiniment plus. Une des rares choses qu'on ne pourrait jamais accomplir avant de s'éteindre, ainsi le plaisir de découvrir ne s'arrêterait jamais ! Alors elle continuerait, jusqu'à ce qu'elle en soit lassée. Espérons que cela n'arrive.

Et tantôt calme, tantôt agitée, telle une mer, Londres, la ville-lumière de l'Angleterre rayonnant sur les trois autres régions de cette petite union, restait toujours dans son cœur. Enfin, Elle évitait d'aller sonner chez ses proches à chaque fois qu'elle passait dans la grande cité ( n'ayant pas envie du scénario " Aujourd'hui, ma famille a été réduite en esclavage par un Time Lord parano et prise dans un conflit interalien, parce que je bosse avec le Doc', et à cause de ça, je dois marcher pendant 12 mois non-stop. VDM. " ). Sa famille avait toujours une grande place... L'expérience avait été déjà vécue et cela l'avait brisé... Mieux valait les mêler à ses histoire et ne pas vivre l'expérience encore une fois.

Mais aujourd'hui... Repos. Bien mérité, d'ailleurs. Miss Jones ne portait pas l'uniforme de l'organisation de défense, quoique la quantité de cuir noir sur ses vêtements laissait penser soit qu'elle était une tueuse en série, soit qu'elle avait recyclé tous ses vêtements dans du caoutchouc de  pneu de voiture. Mais que voulez-vous, c'était son style. ( * La narratrice se fait lapider par toute la communauté gothique londonienne. * ) Bien. Promis. Plus de blagues. Revenons à Martha. Flânant alors dans Oxford Street, se fondant parmi les passants, elle prenait du plaisir à voir cette foule insouciante vivre sa vie de tout les jours, pendant que d'autres prenaient de plus dures décisions. On s'attendrit à les voir, comme lorsqu'on regarde un bébé balbutier des bêtises...

Les mains dans les poches, elle marchait tranquillement. Puis quelque chose sembla la tirer de sa rêverie. Bousculant un jeune homme, par mégarde elle s'arrêta poliment tout en lui donnant à voix basse un " Désolée " accompagnée d'un sourire. Mais ce n'était pas vraiment cela ce qui la perturbait... Il devait avoir environ son âge, cheveux bruns, avec des reflets clairs que le soleil leur donnait. Cela devait sûrement avoir eu lieu avec le contact physique mais quelque chose chez lui avait bien été détectée. La quantité incroyable de chronons qu'il portait était peu commune pour un humain régulier...

Après avoir lu les données qui s’affolaient, s'arrêtant et se retournant, la jeune femme l'interpella.

" Hey, ça va ? Tu sembles perdu. "









Dernière édition par Martha Jones le Ven 24 Oct 2014 - 21:20, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
Mark Dichter
Mark Dichter




Traces de mon passage : 101
Mon arrivée : 01/09/2014

When you see trouble, run... to the source. - Londres, 2014 [ Mark ] Empty
MessageSujet: Re: When you see trouble, run... to the source. - Londres, 2014 [ Mark ]   When you see trouble, run... to the source. - Londres, 2014 [ Mark ] Icon_minitimeVen 24 Oct 2014 - 13:56



Le jeune homme avait pris l'habitude de se lever tôt. Depuis quelques temps, il commençait ses journées par un jogging pour se mettre en condition. En condition pour quoi ? Il ne savait pas trop. Ce qu'il savait, par contre, était qu'il allait bientôt se passer quelque chose, quelque chose pour lequel il avait donné son accord sans vraiment être certain de ce qui allait se passer. Et peut-être n'iraient-ils jamais cambrioler ce musée. Qu'en savait-il ? Même s'il faisait l'effort de garder contact avec Mendax grâce à son manipulateur de vortex, il ignorait quand, exactement l'opération se déroulerait. Un peu comme toujours avec le Timelord, il allait débouler sans vraiment prévenir et ils seraient partis. Voilà pourquoi il se préparait un minimum avant de se prendre son café quotidien dans la petite boulangerie du coin. Il se sentait bien, de bonne humeur, presque, lorsqu'il décida ce matin-là qu'il avait dépassé son temps de course habituel. Ce qui était vrai. Un peu fatigué, sans doute, Mark s'était arrêté pour souffler lorsqu'une jeune femme le bouscula. Il n'y fit pas attention, trop occupé à tenter de reprendre son souffle.

S'il l'avait regardé d'un peu plus prêt, il aurait pu remarquer son accoutrement pour le moins pas banal, se serait posé la question de savoir si elle était mannequin ou quelque chose dans ce style parce que, et c'était vrai : il en avait eu l'expérience quelques mois plus tôt, c'était toujours aux mannequins qu'on demandait de porter les trucs des plus étranges. Il ne l'entendit pas non plus s'arrêter sur son chemin pour bidouiller sur machine discrètement pointée dans sa direction. Non. Le Dichter n'avait rien remarqué de tout cela, s'étant contenté de sourire en retour pour lui faire comprendre que la bousculade n'avait rien de grave. Il s'apprêtait à reprendre sa marche pour déguster un café bien mérité quand la même voix lui parvint. Se passant la main dans les cheveux, il la regarda d'un air songeur.

Perdu ? Était-il perdu ? Perdu dans ses pensées, sans nul doute. "J'suis Juste fatigué de ma course mais j'suis pas perdu. J'ai l'air perdu ? Joli costume.", pointa t-il en l'observant de biais. "C'est pour Halloween ou un magazine ?" C'était l'époque après tout. Elle avait se regard bienveillant qu'on les personnes ravies d'aider la veuve et l'orphelin sauf qu'il n'était aucun des deux. Orphelin peut-être mais c'était lointain tout cela maintenant. "Mais merci quand même. C'est rare de trouver des gens coeur sur la main de nos jours." Il se pencha pour refaire le lacet d'une de ses baskets et murmura "Foutrement rare en fait." Il se demandait s'il allait rester ou poursuivre son chemin. S'il rencontrait du monde à Londres, tisser des liens était difficile lorsque l'on devait mentir sur le tiers de sa vie.

"Toi par contre, t'as l'air fatiguée. J'allais justement prendre un café." Il n'avait pas repéré l'air intrigué qu'elle lui portait. Il avait juste eu envie de prendre sa pause en compagnie de quelqu'un. Il essayait de ne pas trop se méfier des autres pour ne pas avoir l'air, lui-même, d'une personne trop étrange ou décalée par rapport aux terriens de ce vingt-et-unième siècle. "J'm'appelle Mark ", lança t=il dans la foulée. Quitte à lui proposer un café, autant se présenter. Un prénom, c'était juste un prénom, il n'avait rien à perdre. L'accent allemand s'était atténué au fil des ans. Il n'avait pas non plus pris l'accent so british comme Dax mais c'était en progrès, en net progrès. Si l'on ne se penchait pas plus que cela sur sa façon de parler, on pouvait presque le prendre pour un anglais. Depuis son arrivée à Londres, il avait eu tout le temps nécessaire pour réapprendre cette langue que sa mère lui avait apprise pendant son adolescence. Réapprendre, oui. Parce que le passage par la prison n'avait pas vraiment arrangé les choses. Bref. Il était prêt, n'attendait que la réponse de celle que l'on devait parfois, surement, prendre pour une étrangère.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Anonymous

Invité




When you see trouble, run... to the source. - Londres, 2014 [ Mark ] Empty
MessageSujet: Re: When you see trouble, run... to the source. - Londres, 2014 [ Mark ]   When you see trouble, run... to the source. - Londres, 2014 [ Mark ] Icon_minitimeVen 24 Oct 2014 - 21:18


When you see trouble, run... to the source.

Ou pour reprendre les mots d'un grand philosophe du XXIème, Steven Moffat, à travers Sherlock : " You are addicted to a certain lifestyle. You're anormally attracted to dangerous situations and people. "


Avec Mark Dichter


Attends... quoi ? Costume ? Halloween ? Namého. Le noir c'est beau d'abord. Martha, mi offusqué mi blasée se contenta de cligner des yeux, mais elle savait qu'il voulait sûrement essayer de plaisanter. Et puis il était mignon, ce serait bête d’abîmer son visage. La jeune femme tenta de ranger dans un coin tout ce qu'elle pouvait trouver sur lui. Bon de un, son grand sens du style. Ensuite, sa capacité remarquable à commencer une conversation. Enfin, son compliment ( et là pas d'ironie, foi de la narratrice ). Qui lui redonna tout de suite un peu d'espérance. Elle était d'accord sur ce point. Avec plus de 7 millions d'êtres vivant capable d'un minimum d'échanges sociaux, on se retrouve quand même dans des villes énormément peuplées, avec pas une personne pour nous épauler. Comment peut-on se sentir aussi seul, dans des endroits aussi fréquentés ?

Cette rencontre venait tout de suite de l'illuminer, enfin quelqu'un qui comprenait. Elle avait fait ce choix par nécessité, aussi. Lorsqu'on vit aussi près des événements de ce genre, on s'isole du reste du monde. Cela manque parfois. Dieu sait combien de personnes sont dans ce genre de situations. Alors ce ne fut pas étonnant lorsqu'elle accepta la proposition de cette nouvelle tête.  " Ce serait avec grand plaisir. ", dit-elle avec une joie un peu trop contagieuse. Elle avait également ses propres motivations qui la poussaient à agir ainsi, évidemment. Mais le principal était que pouvoir faire une activité qu'une personne normale pouvait se permettre et retrouver l'innocence de la vie, c'était plutôt reposant. Il lui semblait qu'il y avait une éternité qu'on ne lui avait pas proposé...

Les vieux souvenirs sur la prudence de ses parents lui remontaient à l'esprit. Jones doutait fort que cet étranger voulait profiter de la situation et de sa présence, étant donné que c'était elle qui l'avait arrêté, à tout hasard. Et puis regardant en arrière sur ses dernières années, on ne peut pas dire que la prudence ait vraiment été son alliée...  " Eh bien, enchantée Mark. " Il se décidait à s'ouvrir et à lui faire confiance, alors elle ferait de même.  " Je suis Martha Jones. " Si elle ne put s'empêcher de remarquer que son Anglais était irréprochable, si elle s'était attardé sur son accent, elle aurait pu deviner qu'il n'était pas d'ici.   " Alors tu es de passage ? " Le plus triste quand elle y pensait, c'est qu' elle l'était, elle. Alors que Londres était sa ville natale, elle ne pourrait rester ici longtemps, sauf si l'organisation la demandait. Mais ce serait encore pire.

Toutes ses questions pouvaient paraître indiscrètes, mais l'intention de Martha était purement amicale, essayant de faire connaissance. Et elle ne savait pas encore sur quoi elle était tombée. Parce que, tout aussi bien qu'en voyageant dans l'espace et le temps, on peut rencontrer n'importe qui, n'importe qui peut nous tomber dessus en voyageant. Et elle en était très bien consciente... Bien qu'elle ne le voulait pas, elle ne pouvait s'empêcher d'être méfiante. C'est dur de reprendre une bonne conscience après avoir vu tant de mauvaises choses.  " Ma famille habite ici, alors je passe ici de temps en temps. ", disait-elle en buvant, histoire de combler un peu la conversation.  " Tu courais, non ?  J'aime beaucoup ça aussi. Je crois pas que je supporterai de rester inactive pendant une journée. "

Et puis soudain un grand bruit sourd se fit entendre. Cela devait venir de dehors. Comme une sorte de grande explosion. " T'as entendu ? ", fit-elle. La jeune femme se demandait si elle n'avait pas secrètement invoqué à sa dernière phrase, la force mystérieuse de la nature qui la mettait toujours dans des coups tordus. En même temps elle l'avait cherché aussi... Mais c'était trop tard à présent. Son esprit devenait curieux. Lançant un regard complice à Mark, elle se demandait s'il était prêt à la suivre.








Revenir en haut Aller en bas
Mark Dichter
Mark Dichter




Traces de mon passage : 101
Mon arrivée : 01/09/2014

When you see trouble, run... to the source. - Londres, 2014 [ Mark ] Empty
MessageSujet: Re: When you see trouble, run... to the source. - Londres, 2014 [ Mark ]   When you see trouble, run... to the source. - Londres, 2014 [ Mark ] Icon_minitimeDim 26 Oct 2014 - 17:20



Mark ne se souciait pas vraiment de savoir s'il avait offensé la jeune femme. Il n'avait pas réellement voulu se montrer offensant mais soit, c'était venu tout seul. Il ne la connaissait pas et n'avait jeté qu'un rapide coup d'œil à sa silhouette avant de se concentrer à nouveau sur le fait de reprendre son souffle sans avoir de point de côté. Il avait peut-être un peu abusé aujourd'hui. S'il avait pris un peu de recul, il aurait pu admettre que le vêtement choisi par Martha Jones lui allait plutôt bien et qu'il devait être, si peut-être pas à la mode de leur époque, gravement confortable. Mais c'était sans doute les touches d'Halloween sur les trottoirs du quartier qui l'avaient poussé à entamer la discussion sur le sujet avec une pointe d'humour, sans doute. Il espérait ne pas l'avoir froissée et c'est avec un sourire qu'il s'aperçu du contraire. Peut-être devrait-il rencontrer plus de femmes pour ne plus manquer à ce point de tact. Côtoyer Mendax ne l'aidait pas vraiment.

Mark ne se serait pas renfrogné à un refus de sa part mais fut amplement ravi de sa réponse positive. Sa mine fatiguée s'était vite vue remplacée par un large sourire et, en toute vérité, elle était radieuse. "Ravi de faire ta connaissance, Martha.", lui lança t-il en retour en marchant à ses côtés. Martha se déplaçait aisément dans le quartier. Il était évident qu'elle le connaissait mieux que lui même s'il y avait emménagé depuis un peu plus d'un ans. Elle lui donnait l'impression de ces gens à l'agenda fort chargé, à courir partout. Ne leur restait plus qu'à tourner à gauche et ils seraient arrivés.

Décidément, elle tenait à sa réponse et Mark eut un sourire amusé lorsqu'elle se décida à en dire un peu plus sur elle pour en savoir d'avantage sur lui. Il hésita un court moment en se disant qu'il ne risquait pas grand chose à en dire d'avantage. Cela faisait du bien de rencontrer de nouvelles têtes, de rencontrer Martha Jones. "Pour tout te dire j'essaye d'écrire un peu en ce moment alors quand l'inspiration ne vient pas ou quand j'ai besoin d'une pause : courir reste le meilleur moyen pour m'aérer et remettre mes idées en place. Puis quand j'aurais une véritable raison de courir, un jour, j'me remercierais. Quoique.", lança t-il faussement pensif en entrant dans le bistrot. "J'ai pas encore véritablement eu l'occasion de courir en dehors du jogging donc bon ... j'ai pas encore vraiment eu l'occasion de me tester. C'est drôle qu'on ait pas eu trop l'occasion de se croiser si ta famille vit dans le coin.", lança t-il comme pour en savoir d'avantage comme elle avait tenté de le faire. "Je ne suis pas réellement de passage à vrai dire. J'suis arrivé depuis à peu près un an et demi et j'ai bien l'intention de rester. J'aime bien Londres, c'est différent de l'Allemagne." Bah oui, il avait lâché le morceau. Il ne mentait qu'à moitié. Il était bien allemand, venait bien d'Allemagne mais il y avait une histoire de temps et d'années qui ne concordait pas du tout. Il mentait par omission. Il ne mentait pas. Pas vraiment. Aucune trace de culpabilité ne pouvait se lire sur son visage ni même dans le ton de sa voix. Il avait vraiment l'air d'un allemand presque tout fraîchement arrivé à Londres. "J'imagine que ton travail te mène souvent à l'extérieur ?", lui demanda t-il alors qu'ils recevaient leur commandes.

Sa question fut à moitié coupée par un bruit assourdissant si bien qu'il sursauta, renversant le liquide sur le sol par la même occasion. Il n'était pas le seul. De la vaisselle brisée, des cris de surprise. Qu'est-ce que c'était ? Une attaque terroriste ou des énièmes extra-terrestres voulant s'accaparer leur belle planète ? Mark n'était pas un aventurier dans l'âme. Il accompagnait bien volontiers Mendax lorsqu'il le lui proposait mais quand il décidait de rester sur Terre c'était, logiquement, pour vivre une vie paresseusement tranquille et la voilà qui lui proposait d'être curieux plus que d'ordinaire. "Il doit déjà y avoir plein de flics sur place.", lança t-il tout en se levant comme Martha venait de le faire. Il savait rien qu'à son regard qu'elle allait foncer tête baissée sur le lieu de l'explosion (même s'ils ne savaient pas réellement de quoi il s'agissait) et n'avait pas pour habitude de laisser quelqu'un s'enfoncer dans les problèmes tout seul. Il sentait que cela allait mal se passer, c'était comme un sixième sens chez lui. Elle lui en devrait une. Ca oui ! "Allons-y !", lança t-il en la devançant de quelques pas. "Mais j'te préviens, j'me jetterais pas dans la gueule du loup. C'est bien pour ça que j'étais venu à Londres: éviter les problèmes." Il était le dernier des cons à décider de la suivre. Il allait le regretter : c'était une certitude.

Revenir en haut Aller en bas
Invité
Anonymous

Invité




When you see trouble, run... to the source. - Londres, 2014 [ Mark ] Empty
MessageSujet: Re: When you see trouble, run... to the source. - Londres, 2014 [ Mark ]   When you see trouble, run... to the source. - Londres, 2014 [ Mark ] Icon_minitimeDim 26 Oct 2014 - 23:05


When you see trouble, run... to the source.

Ou pour reprendre les mots d'un grand philosophe du XXIème, Steven Moffat, à travers Sherlock : " You are addicted to a certain lifestyle. You're anormally attracted to dangerous situations and people. "


Avec Mark Dichter


Ah tiens un écrivain. Intéressant. La jeune femme aimait beaucoup lire, et de tout généralement. Peut-être qu'elle s'attarderait sur ce qu'il faisait, quand elle aurait le temps, histoire de découvrir un peu. Il venait d'ailleurs, elle avait vu juste donc. D’Allemagne... Elle parlait un peu, enfin, elle n'avait pas un super accent et n'était pas bilingue, mais en savait assez pour se faire comprendre. La dernière fois qu'elle dut parler cette langue, ce fut dans un contexte cauchemardesque, mieux valait laisser cela de côté pour le moment. Et de toute façon, elle n'allait pas faire démonstration de ses talents. Elle n'était pas bien sûr de la réelle identité de ce jeune Mark... " Bon choix, y'a pas meilleure destination que Londres. Je pourrais même te la faire visiter, un jour. " répondit-elle à sa remarque. Sinon, pour parler famille et job, " Je voyage souvent, c'est pour ça que je ne suis qu'ici seulement quand je suis requise par UN-... une entreprise. " répondit-elle. Les deux mots avaient la même prononciation, aussi, à moins d'en avoir déjà entendu parler, ou y avoir vraiment fait attention, on ne pouvait pas comprendre qu'elle avait failli évoquer l'organisation pour laquelle elle travaillait. Enfin, ce n'était pas une entreprise secrète, comme Torchwood, d'ailleurs un civil peut en avoir entendu parler, mais cela permettrait au moins d'aborder le sujet alien. Martha savait toujours ce qu'elle faisait, et l'avait fait volontairement... Même si elle risquait beaucoup.  " Diplomate. Sorte de. " continua-t-elle. Elle ne mentait pas vraiment. Enfin, qu'à moitié. Miss Jones négociait effectivement la vie de millions d'innocents à chaque mission... à une échelle beaucoup plus grande certes.

Voyant que le jeune homme se levait, elle sortit dehors, comme la plupart des gens alertés à l'intérieur du café, et aux alentours. Les rues étaient maintenant presque pleines et il fallait faire vite pour avoir les meilleurs places pour assister à la scène. " La police locale ? C'est les derniers auxquels il faut faire confiance dans ce genre de situation. Crois-moi. " Elle le prit rapidement par sa veste pour se frayer un chemin parmi les passants " Tu me rappelles un vieil ami à parler ainsi ! ". Au fur et à mesure que l'on approchait du lieu de l'incident, les Londoniens couraient dans tous les sens, en criant et en paniquant. " Ne restez pas là ", criaient les autorités. " Dégagez la zone, rentrez chez vous ! " Martha commença à s'inquiéter mais prenait un plaisir malsain à savoir que quelque chose d'intéressant arrivait. Lorsque la jeune femme arriva sur le lieu-même, sa réaction fut mêlée de peur et d'émerveillement.

Une sorte de boule de feu ayant forme humaine allumait ça et là. Plus elle consumait, plus elle grandissait. Elle enflammait tout sur son passage, et les explosions qu'elle engendrait étaient conséquentes. Elle semblait très en colère, incontrôlable.  La Police avait déjà fait évacuer toute la zone et sécurisé le périmètre et les premiers envoyés d'UNIT arrivaient. Cela lui évita d'avoir à les contacter surtout en la présence de l'écrivain allemand, et ils pourraient la soutenir en cas de problème. Mais pas question de se mêler à eux maintenant. Elle regarda le jeune homme, mais son expression avait changée. Cela était devenu beaucoup plus sérieux qu'elle ne se l'était imaginé... " Les habitants sont à l'abri, tant qu'ils arrivent à contenir ce... pyromane ambulant ". La première chose qu'elle devait faire pour le moment était de communiquer, savoir ce qu'il voulait. Peut-être pouvaient-ils trouver un compromis et sauver tout le monde ? " Je te laisse le choix, Mark. Tu peux me suivre et risquer de ne pas t'en sortir indemne... ou fuir. Mais quoi que tu choisisses, c'est pour de bon ".

Ainsi dit, elle se rapprochait dangereusement de la cible.








Revenir en haut Aller en bas
Mark Dichter
Mark Dichter




Traces de mon passage : 101
Mon arrivée : 01/09/2014

When you see trouble, run... to the source. - Londres, 2014 [ Mark ] Empty
MessageSujet: Re: When you see trouble, run... to the source. - Londres, 2014 [ Mark ]   When you see trouble, run... to the source. - Londres, 2014 [ Mark ] Icon_minitimeLun 27 Oct 2014 - 22:51



Oh alors il était face à une buisnesswoman. Non. C'était pas vraiment ce qu'elle avait dit. Elle avait dit une diplomate. Et une diplomate ... réglait les conflits ? C'était bon à savoir ça tient parce que les conflits n'étaient jamais loin dans cette ville depuis quelques temps. Londres avait été son premier choix. Peut-être aurait-il mieux valut qu'il réfléchisse un peu plus quant à son choix de lieu de vie mais bref, c'était L'Angleterre aussi le centre de tout ce qui était étrange, bizarre, weird et tous les synonymes que l'on pouvait trouver. Il n'avait pas trop le temps de réfléchir sur toutes les informations qu'il venait de recevoir. Ils couraient en sens contraire. Toute personne sensée aurait fait comme la plupart des anglais vivant dans le quartier : fuir. Mais il n'était pas quelqu'un de sensé, ni quelqu'un extrêmement courageux et curieux. Il avait juste eu envie de rester à côté de Martha tant que le danger était là même s'il n'allait pas forcément lui être d'une grande aide. Il n'était qu'un humain, elle aussi. Du moins. C'était ce qu'il pensait alors qu'ils passaient le périmètre de sécurité.

Était-elle vraiment celle qu'elle prétendait être ? Cette question le chiffonna parce qu'il dégageait d'elle l'aura de quelqu'un de déterminé, qui semblait savoir ce qu'il faisait. L'odeur de la fumée le fit grimacer. Il n'avait jamais été un adorateur du feu mais avança tout de même. Il y était. Impossible de reculer et de toute façon sa morale le lui interdisait. Il s'était en quelque sorte engagé en venant avec elle et il n'agirait pas en froussard. Il écarquilla les yeux face à la torche humaine qui se mouvait plus loin. Qu'est-ce que c'était que ce truc ? Elle se déplaçait, prenait vie et il y avait quelque chose. Elle se nourrissait et ils devraient trouver une solution avant qu'elle n'explose parce que lorsque l'on mangeait trop l'on devenait malade. Malade. Si Mark n'était pas encore paniqué à la vue de cet alien, il aurait réagit directement à l'idée qui s'était imposée à lui. Réfléchir lui permettait d'oublier la peur, la peur lui retirait tout élément de réponse qu'il aurait pu trouver.

Pour l'heure il avait du mal à réaliser ce qu'il se passait autour de lui comme à chaque fois qu'il faisait face à toute chose allant à l'opposé de ses idées de mener une vie totalement normale. Il n'y avait rien de normal à foncer vers cette créature pour trouver un moyen de l'éliminer sans avoir de Timelord aux idées lumineuses à portée de main pour l'aider. Mais il était également Mark, un humain pas comme les autres qui avait vécu quelques situations critiques sans pour autant en rester pétrifié. Martha en revanche lui semblait bien active pour une fonctionnaire. C'était étrange. Juste étrange mais pour le moment il était bien plus préoccupé par cette boule de feu vivante pour y porter plus d'attention. "J'vais pas te laisser seule avec ce truc.", lança t-il faussement indigné qu'elle ait pu le penser capable d'une telle chose. "J'ai pensé à quelque chose mais je l'ai oublié.", lança t-il lorsque Martha l'entraina à sa suite. "Je l'ai oublié alors que c'était important. C'était important parce qu'elle mange comme lorsque les enfants se gavent de sucreries aux anniversaires. Elle mange. Elle grandit. Qu'est-ce qu'il se passe lorsque l'on mange trop Martha ?" Elle ne devait pas perdre de temps à lui répondre. Il savait qu'elle savait. Il allait y avoir une explosion digne du plus grand feu d'artifice s'ils ne trouvaient pas quelque chose. "Nous devons la rendre malade avant qu'il ou elle ne tombe malade. Et je ne suis pas calme mais stressé. Je paniquerais après quand j'aurais réalisé mais toi toi. T'es pas quelqu'un d'ordinaire. Mais on a besoin de gens pas ordinaires pour des situations peu ordinaires n'est-ce pas ?", lui lança t-il en jurant à moitié parce qu'il venait de perdre le fil de ses pensées. Ils s'étaient mis à l'écart pour observer la créature puisqu'ils ne pouvaient rien faire d'autre pour le moment. Mark attrapa une canette pour la lancer au visage de la créature qui s'amplifia en continuant son chemin. Par chance inouïe, elle ne les avait pas encore remarqué. Elle n'était pas allergique aux composants d'une canette (même s'il ignorait fichtrement quels étaient leurs composants). "Malade. Nous devons la rendre malade. Il y a forcément quelque chose qu'elle ne digère pas, qui la tuera à petit feu." La créature n'avait attaqué personne. Elle s'était contentée de manger des matériaux et sans le dire à voix-haute, il espérait qu'ils n'étaient pas l'aliment que la créature ne digérait pas. Parce que personne ne se porterait volontaire pour tester cette théorie absurde et qu'il n'avait pas envie d'être un cobaye.  
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Anonymous

Invité




When you see trouble, run... to the source. - Londres, 2014 [ Mark ] Empty
MessageSujet: Re: When you see trouble, run... to the source. - Londres, 2014 [ Mark ]   When you see trouble, run... to the source. - Londres, 2014 [ Mark ] Icon_minitimeDim 30 Nov 2014 - 21:54


When you see trouble, run... to the source.

Ou pour reprendre les mots d'un grand philosophe du XXIème, Steven Moffat, à travers Sherlock : " You are addicted to a certain lifestyle. You're anormally attracted to dangerous situations and people. "


Avec Mark Dichter


Mark n'était donc pas du genre à laisser tomber un opportunité de voir une créature fascinante et nouvelle. A présent, ils allaient pouvoir s'en occuper... Quelque part, Martha était rassurée d'avoir quelqu'un à ses côtés. Mais s'il lui arrivait quelque chose, ce serait entièrement de sa faute. Dans ses moments, elle comprenait tellement son ami de passage... Alien. Ce fut la première théorie qui vint à l'esprit de la jeune femme lorsqu'elle pensa à lui. Elle en avait tellement vu que cela devenait une évidence, une réponse à tout ce que la physique qu'on connaît peut expliquer. Mais elle n'en fit pas part tout de suite au jeune homme, pouvant paraître suspecte. Elle sourit à sa remarque, sans lui répondre. Il était mystérieux lui aussi. Mais personne n'allait se dévoiler en premier, elle en avait l'impression. Elle n'en avait pas fini avec lui mais une fois que tout cela serait terminée... Par ailleurs, il semblait réfléchir aussi de son coté, que Matha écouta attentivement. " Une indigestion " dit-elle, un peu inquiète. La elle le savait bien, pour avoir été doctoresse... Mais bien sûr, ils ne savaient pas quelles étaient les intentions de cet étranger. Il était peut-être seulement perdu...

Tandis que le jeune homme essayait d'attirer l'attention de la créature, elle tentait de garder les idées claires. Mais le petit avait de bonnes idées, bien qu'il ne les remarquât même pas... Il ne devait même pas sentir leur présence. Alors Miss Jones s'approchant, tentant de le captiver, au point où cela en devenait dangereux. " On veut t'aider. " criait-elle, espérant qu'il l'entente. Elle avait peur tout de même. Qui ne le serait pas ? Mais ce n'était pas pour autant qu'il fallait laisser cette émotion paraître dans sa voix. L'humanoïde se retourna et la regarda, interloqué, alors que Martha sentait qu'il y avait un petit espoir. Jusqu'à ce qu'il rugisse en retour " N'APPROCHEZ PAS ! " avant de soudainement faire exploser la poubelle qui se trouvait à côté d'elle.

Martha n'était pas gravement blessé, mais elle avait pu retrouver l'écrivain. " A l'abri ! " lança-t-elle en courant dans sa direction. Elle trouva un pan de mur dans un coin de la rue derrière lequel elle se colla afin de rester à l'abri le temps de penser. Le pyromane ne pouvait pas les voir, bien qu'ils pouvaient encore sentir la chaleur et les cendres que la créature laissait derrière lui. toujours le cœur battant, elle parvint tout de même à donner quelques explications au jeune homme. " Il est trop instable... On ne peut pas l'approcher sans finir grillé... " Elle perdait le contrôle de la situation et cela l'inquiétait. Elle ne pouvait pas se laisser dominer maintenant alors que sa raison était la clé... Réfléchis, Martha, Réfléchis. Il mange. Grandit. Il consomme... Parce que la combustion a besoin d'énergie. " Et de dioxygène " finit-elle à voix haute, pensive. Mais si la créature humanoïde avait une enveloppe ignifugée, d'où le fait qu'elle puisse parler ? Ça veut dire qu'ils pourrait sûrement arrêter le feu sans le tuer. Mais pour cela, il fallait trouver un moyen. Où est-ce qu'on trouve une cloche à vide de taille humaine en plein Londres ? Parce que lorsqu'elle aura brûlé l'intégralité de la Cité, il y avait 2 solutions... Soit la théorie de Martha était fausse et elle s'éteindrait et s'arrêterait, dans le meilleur des cas, soit elle s'en irait, cherchant à grandir encore. Et cela irait très mal. Reprenant ses esprits et déterminée, elle dit à Mark : " Bon, aujourd'hui on joue aux pompiers. T'es prêt ? "










Revenir en haut Aller en bas
Mark Dichter
Mark Dichter




Traces de mon passage : 101
Mon arrivée : 01/09/2014

When you see trouble, run... to the source. - Londres, 2014 [ Mark ] Empty
MessageSujet: Re: When you see trouble, run... to the source. - Londres, 2014 [ Mark ]   When you see trouble, run... to the source. - Londres, 2014 [ Mark ] Icon_minitimeSam 17 Jan 2015 - 0:51



La créature de feu ne s'était attaquée à personne et cette idée de la rendre malade pour l'anéantir l'avait effleuré alors qu'elle le gênait presque. Elle était probablement tout simplement perdue, perdue comme tant d'autres dans cet univers vaste et parfois hostile. Pouvaient-ils communiquer ? C'était une créature de feu, pas un être doué de parole. La complexité de la chose le rendait perplexe sans idée valable pour arranger la situation. Pouvaient-ils créer une sorte de brèche pour le renvoyer où ... où il devait être, chez lui. Mais chez lui où était-ce et comment étaient-ils supposés se faire comprendre dans ce contexte où la crainte qu'il y ait un accident était bien plus présente dans sa tête que l'idée de 'c'est E.T. qui veut rentrer chez lui'.

Que la créature tombe malade n'était probablement pas sa meilleure idée mais l'urgence de la situation ne le forçait pas à réfléchir pour trouver cette conséquence toute simple: il n'allait pas tomber malade, il finirait par exploser et Mark ne voulait pas faire face à ces conséquences. Il secoua la tête comme pour nier ce qu'il venait de dire sans perdre le temps de le dire à voix haute. La jeune femme profita de son temps de réflexion pour se lever et dialoguer avec la créature. S'il voulait que la situation s'améliore pour le bien de tout le monde, il n'avait pas forcément imaginé cette idée que de se mettre en ligne de mire. Si la créature se mettait en colère, la situation deviendrait vite ingérable pour deux morts.

Il finit par se lever aux côtés de Martha pour ainsi montrer à la créature qu'ils n'avait rien à craindre. Mauvaise réponse. Mark sursauta violemment au hurlement de l'humanoïde en flamme. Il savait donc parler. Cela changeait la donne, il y avait un moyen pour que cela fonctionne. Sauf que... Mark lança un regard en biais à Martha. "Diplomate hun ?" Ils s'étaient rapidement planqués derrière un mur. Ce n'était pas le moment pour la questionner sur qui elle était réellement mais c'était comme qui dirait plus fort que lui. Remarque, la situation était probablement bien différente de la définition humaine de la diplomatie. "C'est le contact avec la terre qui a créé sa ... combinaison de feu ?", s'interrogea t-il en hochant la tête sur sa proposition de jouer les pompiers. Il se demandait ce que faisait l'armée. Dans ces cas là c'était une force majeure pour la sécurité du pays, n'est-ce pas ? Ils devaient forcément avoir des tissus inflammables de technologie ultra avancée que les citoyens ne connaissaient pas encore ou même une cloche en stock pour le cas où. Tout était possible. Martha lui donnait l'impression d'être une scientifique plutôt qu'une diplomate. Elle avait utilisé un terme qu'il ne prononçait pas tous les jours. "St-Mary le Bow ? Mais via le métro c'est compliqué à moins qu'ils aient déjà évacué les métros." Il parlait là bien sûr des militaires. Et puis même, leur gus ferait tout flamber, mauvaise idée. Encore. "Pourquoi ne viennent-ils pas ? Avec tout leur matériel, une cloche ne devrait pas être bien compliqué à déplacer."

"Ceux qui vont arriver ne sont pas de ton côté. Nous oui.", cria soudainement Mark toujours protégé par le mur. C'était lâche ouais mais quitte à voir la créature d'autant plus énervée par l'armée, il préférait l'avoir de son côté. "NOUS voulons t'aider.", poursuivit-il en se déplaçant pour faire face. En plus de s'être perdue la créature ne s'était pas beaucoup déplacée de sa situation d'origine. "Il ou elle cherche quelque chose." Il ne voulait pas se griller en parlant de technologie d'extraterrestre qu'il n'était pas supposé connaître mais, de toute façon, avec son air peu terrorisé par la situation, il devait s'être grillé d'avance. "Tu t'es perdu et ça t'énerve. L'énervement active cette ... énergie qui t'entoure." continua t-il en faisant des gestes comme s'il parlait à une assemblée.  "Enfin tu cherches ta brèche, ton point de départ." Courir jusque vers une église semblait difficilement réalisable (sans oublier le côté épuisant de la chose malgré son entraînement quotidien). Ils devaient repérer quelque chose qui sorte de l'ordinaire si la créature ne s'énervait pas à nouveau. Mais non, le feu sembla s'atténuer légèrement ou n'était-ce là qu'une illusion d'optique. Il était peut-être totalement fou de s'adresser ainsi aussi ouvertement et sans protection à une chose qui pouvait le tuer en un clin d'œil. Mais Mark n'avait rien de menaçant dans ses traits.

Diplomate d'un jour: check ! "Martha ?", l'appela t-il après un moment d'hésitation. "Quelque chose d'anormal dans l'coin ?" Et le tout d'un ton naturel, presque enjoué. Mr Dichter était ravi même s'il allait devoir s'expliquer ensuite auprès de la jeune femme. Même s'ils étaient tous les deux loin d'être ce qu'ils avaient prétendu être dans ce café.
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





When you see trouble, run... to the source. - Londres, 2014 [ Mark ] Empty
MessageSujet: Re: When you see trouble, run... to the source. - Londres, 2014 [ Mark ]   When you see trouble, run... to the source. - Londres, 2014 [ Mark ] Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas

When you see trouble, run... to the source. - Londres, 2014 [ Mark ]

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
• THE SILENCE HAS FALLEN • :: trash & co' :: archives RPG.-