Un premier voyage... annulé! [début 2015/ Londres]

Traces de mon passage : 26 Mon arrivée : 27/06/2015

[Flash Back] Un premier voyage... annulé!
Ft The Metacrisis Doctor

Au Royame-Unis, à Londres plus précisément, le soleil commençait doucement à se lever. La population endormie se réveillait peu à peu et tous reprenaient leur train-train quotidien. Tous? Pas vraiment puisqu'une jeune femme restait dans son lit, les yeux ouverts puisqu'elle n'avait pas réussi à trouver le sommeil. L'excitation que lui procurait l'approche du jour fatidique l'avait empêché de se reposer convenablement, mais elle en avait pas vraiment besoin. Elle se sentait en pleine forme et prête pour l'aventure.

Après avoir embrassé la tempe de son charmant dormeur, elle se leva et se dirigea vers la cuisine pour faire le petit déjeuner comme à chaque samedis matins depuis déjà cinq ans. Habillée de son pyjama rose, elle mit en marche la machine à café ainsi que le four avec l'intention de préparer des omelettes. La pièce du ton de blanc et de gris n'avais rien de moderne. Ils ne bénéficiaient pas d'un assez bon salaire pour avoir le genre d'appartement qu'on peut voir dans les films, mais ils vivaient bien dans leur petit logement.
« Voilà une belle journée qui s'annonce. Je me demande bien ce qu'elle va nous réserver...», songea Rose Tyler.

Pour tout dire, Rose et le Docteur allaient enfin voyager dans le Tardis flambant neuf qui les attendaient caché quelque part dans une ruelle non loin de leur appartement. Malgré que cette petite routine plaisait à ce charmant couple, les trépidantes aventures que leurs réservaient la cabine bleue manquaient autant à l'un qu'à l'autre. Qu'es que le Docteur avait-il préparé pour ce nouveau départ? Une nouvelle planète? Une galaxie inexploré? Une époque éloignée, mais illustre sur Terre? La question posée, il ne répondit que par un large sourire mystérieux qui ne signifiait qu'une seule chose. « Surprise!» Qu'es qu'elle était impatiente de connaitre la prochaine destination!

Deux tasses remplient à rebord et deux assiettes bien garnies furent déposés sur la table quelques minutes plus tard. Ici, s'était elle qui faisait à manger. Le Docteur possédait beaucoup de connaissances, mais la cuisine n'en faisait clairement pas partie. Sauf si vous aimez vos repas brûlés... Du moins, elle savait clairement mieux se débrouiller dans la vie courante que son chéri bien à elle. Après que Pete lui avait fournis des faux papiers, le charmant voyageur eu à apprendre les responsabilités qu'incluait une vie normal. Un long travail pour sa pauvre compagne...

Quand elle allait s'attabler pour prendre son déjeuner, le téléphone qui se trouvait dans le salon se mit à sonner.

- Oui allo?, fit-elle après avoir décroché.

C'était sa mère et elle semblait vraiment en forme en si bonne heure et elle eu du mal à se concentrer sur ce qu'elle racontait. Heureusement que le petit Tony accapara l'attention de Jackie très rapidement. Elle put enfin raccrocher. Elle aimait sa mère, mais parfois, elle pouvait devenir quelque peu intense...

Traces de mon passage : 147 Mon arrivée : 14/08/2014

Le soleil s'était déjà levé et entrait dans la pièce entre les volets alors que j'ouvrais les yeux. Je regardais l'oreiller d'à côté pour remarquer que Rose s'était déjà levée... Depuis que j'étais mi-humain, je m'étais pourtant plaint de devoir dormir, alors que je pouvais désormais dormir des heures, commençant même à apprécier les grasses matinées. Je me levais tout de même assez rapidement, je m'étirais et sortis de la pièce les cheveux encore plus en bataille qu'à l'habitude et sans prendre la peine de m'habiller plus pour le moment ; vêtu d'un simple t-shirt et un caleçon à peine trop large, une tenue avec laquelle il était désormais normal de me voir, et j'avais eu bien du mal à m'y faire, après des années ou je dormais si peu que je ne portais quasiment que mon habituel costume avec des Converse et souvent surmonté d'une veste. Je me rappelais toujours de la journée que j'avais dû passer avec Rose à acheter de nouveaux vêtements ; j'avais au final passé plus de temps à chercher des vêtements similaires à ceux que j'avais pu porter plutôt que de réellement en chercher de nouveaux...

Avant même d'entrer dans la cuisine, j'entendais la voix de Rose ; et en l'écoutant plus attentivement j'en déduisis rapidement que son interlocutrice n'était autre que Jackie. Cela faisait déjà 5 ans que j'étais là et pourtant Jackie arrivait parfois à me surprendre encore ; il fallait dire qu'elle avait son caractère. Bien sûr, j'étais cependant très reconnaissant envers elle et Pete, car sans eux il m'aurait été bien plus dur et à la limite de l'impossible de m'intégrer dans ce monde. Sans mon TARDIS ? Je n'aurais pas pu aller bien loin.
D'ailleurs, j'étais bien heureux de pouvoir retrouver mon TARDIS après tout ce temps passé ici. Pas que je détestais la routine qui s'était installée, au contraire, je m'y étais plutôt bien fait, mais les aventures à bord de ce cher vaisseau me manquaient... Et la perspective de les passer avec Rose ne faisait qu'accroître mon impatience.

Un léger sourire s'afficha sur mon visage alors que je pouvais sentir tout en approchant de la cuisine ce que Rose était en train de préparer. Entrant finalement dans la pièce, je lançais d'un ton que je pensais enjoué mais qui finit par sonner plutôt endormi : « Bonjour Rose », avant d'aller vers elle afin de lui déposer un doux baiser sur la joue tout en l'enlaçant tendrement. J'étais d'ailleurs bien heureux que Rose ne me demande pas plus souvent de faire la cuisine. J'avais beau avoir vécu pendant presque 1000 ans et posséder énormément de connaissances, la cuisine n'était définitivement pas l'une d'entre elles ; et mes échecs alors que j'essayais de préparer quelque chose auraient pu être assez catastrophiques, et finissaient bien souvent par être tout simplement cramer et me valoir une séance de vaisselle relativement difficile. Mieux ne fallait-il donc pas que j'essaie d'avantage, histoire d'éviter de potentiels incidents.

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Rose déposa le téléphone sur son socle en soupirant quelque peu. Dans un monde ou dans l'autre, sa mère restait la même. Un tantinet surprotectrice, elle avait tendance à s'en faire malgré qu'elle savait que sa fille se trouvait entre de bonnes mains. Tyler avait eu droit à des questions du genre «Tu es sûr que vous êtes vraiment prêt à partir?» ou aussi «Vous devriez vous exercer d'abord avant d'espérer visiter une nouvelle planète, non? Ça fait quand même cinq ans que vous n'avez pas voyagé...». Malgré cela, la jeune femme n'allait pas changer d'idée aussi facilement et se faisait déjà une joie de repartir à l'aventure avec le Docteur.

- Bonjour Rose, entendit-elle derrière elle.

L'humaine se tourna vers son demi-seigneur du temps avec un large sourire. Ce dernier souriait, mais sa fatigue n'échappa pas à sa compagne. Preuve à l'appuis, il portait toujours ce qu'il avait mis pour dormir soit un simple caleçon et un T-shirt. Il avait aussi les cheveux en pétard et cela lui donnait une allure tout à fait du goût de la blondinette. Du moins, le Docteur s'approcha de Rose et la serra dans ses bras. Étreinte qu'elle lui rendit tendrement, comme à chaque matin. Un tendre baisé sur la joue de sa part et elle était certaine que le sourire qui venait de gagner son visage n'allait pas partir de la journée.

- Bonjour mon Docteur, bien dormi?

Se défaisant doucement de l'étreinte de son compagnon, la jeune femme s'assit à la table et elle fût assez vite suivie par le Metacrisis qui semblait affamé vu le regard qu'il posa sur son assiette. Elle lui raconta les inquiétudes de sa mère en rigolant un peu. Après tout, conduire un Tardis, c'était un peu comme faire de la bicyclette, ça ne s'oublie pas facilement. Elle-même se rappelait encore ce que le Docteur lui avait montré, à l'époque. Alors, imaginez l'homme qui a voyagé de villes en villes, de planètes en planètes et ce jusqu'aux plus lointaines galaxies pendant des centaines d'années consécutives. Il n'y avait aucun risque qu'il ait pu oublier comment manoeuvrer sa cabine bleue et ce même s'il n'était plus complètement un seigneur du temps. Pendant qu'ils mangeaient, elle fit une pause pour lui demander, une nouvelle fois, où ils allaient. Malheureusement, il refit ce mystérieux sourire qui ne pouvait signifier qu'une chose: « Tu le sauras bien assez tôt».

- Pas même un petit indice?, demanda-t-elle en faisant des yeux de chat botté. Je voudrais pouvoir m'habiller en conséquence. Parce que si j'ai besoin d'un manteau d'hiver, j'aimerais le savoir...

Puisque le Tardis venait d'être assemblé, elle doutait fortement que le Docteur ait pris le temps de remplir le garde-robe du moindre vêtement de rechange. Le connaissant, il fallait être prête à toute éventualité et de plus, il arrivait parfois que la machine fasse à sa tête et les emmenant à la mauvaise époque.

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Chaque moment passé avec Rose était un moment que j'appréciais, mais je ne savais pas exactement pourquoi, les matins avaient toujours ce petit quelque chose de spécial qui me donnait déjà le sourire ; peut-être était-ce l'ambiance, les odeurs, la simple présence de Rose, ou bien tous ces éléments combinés ensemble. Ce matin était de toutes manières encore plus spécial, car j'avais hâte de retrouver enfin mon TARDIS et pouvoir explorer de nouveau certaines planètes en compagnie de Rose. Tout ça ne pouvait que me mettre de bonne humeur, après tout.

« Très bien dormi, et toi ? »

Une fois cette question posée et Rose se défaisant de mon étreinte je m'installais à table et regardait mon assiette avec un ventre qui menaçait de gargouiller, commençant donc à manger tout en écoutant Rose partager avec moi les inquiétudes de sa mère concernant le fait que nous allions de nouveau voyager. Moi, ne plus savoir piloter le TARDIS ? Mon TARDIS ? C'était inconcevable. La réflexion en soit me faisait plus doucement rire qu'autre chose, tout simplement parce que je ne vois pas comment j'aurais pu oublier quelque chose que j'ai fait pendant des années... J'étais loin d'avoir la meilleure conduite, soit, mais cela ne voulait pas dire que je pouvais si facilement oublier, en si peu de temps, comment piloter ma chère boîte bleue.
En un sens, je comprenais tout de même les inquiétudes de sa mère, inquiétudes que j'avais bien souvent pris à la légère devant elle, même si en réalité je comptais bien toujours faire en sorte que Rose reste en sécurité où que l'on aille.

Alors que Rose me demandait une nouvelle fois notre destination aujourd'hui, je lui répondais de la même manière que je l'avais fait jusqu'ici lorsqu'elle me posait cette question ; avec un sourire qui lui disait de tout simplement attendre, après tout, ce ne serait plus bien long maintenant. Je riais doucement alors qu'elle me demandait un indice avec ce regard irrésistible, et cependant, il faudrait bien que j'y résiste et que je garde encore la surprise un petit moment. Ce n'allait plus être très long désormais, et tout autant que Rose, j'avais réellement hâte de pouvoir reprendre les aventures et surtout en sa compagnie.

« Hm, je pense que tu peux t'habiller de manière normale, comme on l'a souvent fait... Après, si cela peut te rassurer au cas où le TARDIS ferait des siennes, tu peux toujours amener d'autres vêtements, mais je ne pense pas que ça sera utile. »

Je savais bien que le TARDIS avait parfois tendance à nous amener là où il fallait que je sois plutôt que là où je voulait aller ; cependant, j'espérais que pour ce premier trajet, elle allait être clémente et atterrir au bon endroit, mais, plus que tout, à la bonne époque...

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(Une heure plus tard)

Rose, complètement perplexe, grattait sa tête blonde en observant l'appartement. Elle avait cherché partout! Dans ses poches, sur la table de la cuisine, sur sa table de chevet et même dans les craques du divan, mais elle ne la trouvait pas! Peut-être l'avait-elle ranger avec les autres par mégarde? Elle se dépêcha d'aller dans sa chambre pour trouver son sac. Il n'y avait que les clés de son véhicule et rien d'autre. On aurait pu croire qu'elle avait disparu!

*Où ce cache dont cette fichu clé?!, se demanda-t-elle. Il me semblait les avoir laissées sur la table... Juste au moment de mon départ, en plus!*

En entendant le Docteur l'appeler depuis l'entrée, elle laissa tomber. Il n'avait pas besoin de clé, lui. D'un claquement de doigt, il ouvrirait les portes du Tardis sans problème! Elle se promis de chercher plus longtemps après ce premier voyage. Après avoir enfilé sa veste en jean, elle rejoignit son demi-seigneur du temps qui lui sourit lorsqu'il la vit.

- Je suis prête! J'ai hâte de voir où tu m'emmènes!

Sortant à l'extérieur, le couple descendirent les escaliers avant de rejoindre le trottoir et de marcher dans une certaine direction. La position de la boite bleue était une petite ruelle à cinq minutes de marche de chez eux. Pas très loin, en somme. Se tenant la main, ces derniers discutaient de tout et de rien et profitaient de cette belle journée. Le soleil réchauffait agréablement la magnifique ville de Londre malgré le petit vent frais matinal.

Cela aurait dû être une belle journée... Voilà qu'en arrivant à destination, leurs sourires firent places à une expression d'horreur absolu. Il devait se trouver à cet endroit précis. Du moins, il aurait dû s'y trouver, mais il n'y avait que des poubelles, des poubelles et... un chat de gouttière. Plus de Tardis, rien!

- Docteur... es-que tu as laissé le mode d'invisibilité enclenché?, demanda Rose avant de déglutir nerveusement.

Mince! La clé et maintenant, le vaisseau? Ça ne pouvait pas être une coïncidence s'ils ne trouvaient pas ces deux choses. Quelqu'un devait avoir volé les clés et ainsi que la boite disparue, mais qui aurait pus faire cela et surtout, pourquoi?!

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Mon excitation se ressentait alors que je faisais les cent pas tout en attendant Rose. J'avais hâte d'enfin retrouver mon TARDIS et j'avais préparé ce voyage depuis tellement longtemps que j'en devenait plus qu'impatient. J'étais déjà prêt depuis ce qui me semblait être longtemps, même si cela ne faisait probablement que quelques minutes. Un autre tour dans la pièce et j'entendais enfin Rose qui s'approchait. Je lui donnais l'un de mes plus grands sourires alors qu'elle me rejoignait, un sourire qui s'agrandit un peu plus alors qu'elle m'annonçait qu'elle était prête.

« Alors allons-y ! »

Cela faisait bien longtemps que je n'avais pas dit ces mots – après tout, en dehors d'une aventure, ils n'étaient pas des plus faciles à placer ; et les redire alors qu'ils s'apprêtaient à rejoindre le TARDIS ne faisait qu'accroître mon empressement. Une fois sortis de notre appartement, je tendis la main à Rose alors que nous marchions vers une rue non loin d'ici. La journée semblait belle et prometteuse, l'humeur et le temps étaient au beau fixe ; mais plus pour très longtemps.

Une fois arrivé dans la ruelle, mes yeux s'écarquillaient alors que nous faisions face à... rien. Enfin, si, quelques poubelles, mais pas de TARDIS à l'horizon... Comment cela pouvait-il être possible ? J'étais pourtant bien sûr qu'il était ici... Je me retournais vers Rose alors qu'elle me demandait si j'avais laissé le mode d'invisibilité enclenché.

« Non... Pas que je sache. »

Où était passé mon vaisseau ? Je n'avais pas attendu tout ce temps pour rien. Il fallait que je le retrouve... Je parcourais la rue de long en large, et même si je savais qu'il n'était pas invisible, j'essayais tout de même de m'en assurer en allant aux moindres recoins, avant de rejoindre Rose. Je ne comprenais pas ce qu'il se passait réellement. Personne n'avait connaissance de l'emplacement du vaisseau à part quelques rares personnes, et de toutes manières, même si quelqu'un d'autre avait trouvé le TARDIS, ils n'auraient même pas pu l'ouvrir pour y entrer... Où donc aurait-il bien pu passer ? Je soupirais avant de m'adosser sur le mur le plus proche. C'était un de ces instants où il n'y avait pas grand chose à faire... A part chercher où mon TARDIS pouvait bien être. Mais cela pouvait nous prendre énormément de temps, car il pouvait être n'importe où s'il n'était pas ici.

« Il va falloir que nous retrouvions le TARDIS, je vais regarder dans les rues voisines, même si je suis certain que le vaisseau était ici. Tes parents étaient aussi au courant de l'emplacement du TARDIS... Peut-être qu'ils savent quelque chose. »

J'en doutais fortement, mais après tout, il avait bien fallu qu'ils sachent que nous repartions à l'aventure. J'allais regarder rapidement dans les rues voisines, mais comme je pouvais m'y attendre, le TARDIS n'y était pas non plus, je retournais donc vers Rose qui était de nouveau au téléphone avec Jackie...

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Rose, pendant que le Metacrisis cherchait un Tardis peut-être invisible, réfléchissait. Jamais cela n'était arrivé lorsqu'elle voyageait avec le Docteur et pour une bonne raison. Personne n'était supposé pouvoir entrer! Le seigneur du temps l'avait dit lui-même: «Tous les soldats de Gengis Khan n'ont pas réussi à passer cette porte et ils ont essayé !». Alors, comment le Tardis pouvait avoir disparu comme s'il n'avait jamais existé?

Il revint alors vers la blondinette en s'appuyant contre le mur le plus près, clairement anxieux. Elle remarqua que lui non plus ne comprenait pas ce qu'il se passait. Elle songea à sa clé qu'elle avait perdue. Quelqu'un aurait pus lui voler? N'importe quoi! Quoi que... Non, elle ne pouvait pas y croire. Comment quelqu'un aurait réussi à entrer chez eux par infraction sans avoir laissé aucune trace de son passage? Pourtant, quelqu'un devait avoir une clé, c'était la seule explication. Pourtant, personne ne peut rentrer dans leur appartement, sauf...

Soudain, le demi-seigneur du temps lui demanda d'appeler ses parents pendant qu'il allait chercher dans les environs. Ses parents, comment diable pourraient-ils être au courant? Elle ne pouvait croire que sa mère ou Pete ai puent lui voler quoi que ce soit. Malgré tout, sa mère pouvait se montrer extrême lors qu'elle voulait protéger sa fille... Elle devait appeler, pour être sûr.

Prenant son téléphone portable dans sa main, elle inscrivit le numéraux de téléphone de leur maison. Après trois sonneries, son père décrocha.

- Oui allo?
- Bonjour Papa, esque tu saurais...

Elle n'eut même pas le temps de continuer sur sa lancer puisque sa mère se mit à crier en arrière plan.

- Est-ce Rose?!
- Oui, ma chérie...
- Passe-la-moi!!!

Rose sentait dans sa voix qu'elle semblait pressée de prendre le téléphone. Du moins, elle s'en formalisa pas. Elle savait que sa mère savait se montrer intense losqu'elle était inquiète.

- Rose? Es-que ça va?, entendit-elle plus distinctement.
- Bonjour, maman et oui, je vais très bien...
- Ho! Tant mieux. Tu nous appelles pour une raison en particulier?
- Justement... Tu te rappelles que je te disais que le Docteur et moi partons ce matin en voyage?
- Oui, bien sûr... Tu ne pars plus?
- Non, malheureusement.
- Je suis désolée, ma belle! Je suis si triste pour toi qu'on t'ait volé la clé du tardis!

Attendez un peu... Elle n'avait pas dit un mot sur le vole en question à sa mère.

- Il est déjà si tard?!, fit soudain Jacky Tyler. Je dois aller à un rendez-vous. Bye Rose et fait attention à toi!

Puis elle raccrocha... La jeune femme croisa le regard de son Docteur qui venait de revenir. Jamais elle n'aurait pus imaginer dire ça de toute sa vie...

- Je crois que c'est ma mère qui a volé le Tardis...